Sur les chemins de l'Awen
conscience animale

Cette expérience ainsi que celle du départ de Lanette appuient sur un fait dont on parle de plus en plus : par amour et résonnances pour nous, « nos » animaux prennent sur eux beaucoup de nos manques et faiblesses, que cela soit au niveau de maladies aux manifestations physiques, émotionnelles, psychologiques ou sociales. Il est important de prendre conscience de cette réalité, d’en prendre la mesure dans notre relation avec nos compagnons et de reprendre la responsabilité de notre propre travail de guérison globale.

Lanette nous a fait comprendre que sa vie n’a été que souffrance acceptée jusqu’à sa fin tragique dans laquelle elle avait accepté non seulement de travailler sur sa libération mais également de prendre sur elle pour transmuter une bonne partie des anciennes mémoires lourdes et de souffrances présentes sur les terres. C’est son choix, on ne peut rien y faire sinon l’accompagner avec bienveillance et reconnaissance de son action et de ce qu’elle est.

Par contre, que dire des animaux qui tombent systématiquement malades dès que l’on quitte les terres avec un sentiment diffus de culpabilité de ne pas être présent en cas d’éventuels pépins. Hé bien, on gère cette culpabilité qui n’a pas lieu d’être et on énonce clairement au cercle animal qu’ils n’ont pas à prendre cela sur eux !

Comme le dit une amie magnétiseuse qui s’occupe essentiellement d’animaux: « la majorité des animaux qui viennent me voir m’amène surtout leur « humain » en consultation ! »

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